Héloïse TIGNER

REPRENDRE LE CHEMIN DE L'ECOLE, UN VRAI COUP DE JEUNE !
Status
Diplômé

REPRENDRE LE CHEMIN DE L'ECOLE, UN VRAI COUP DE JEUNE !

La reprise d’études : de nombreuses personnes décident chaque année de sauter le pas ! C’est le cas d’Héloïse après 10 ans de carrière au sein du Groupe Mars.

 

Les raisons d’une reprise d’études ?

Elles sont multiples ! La quête d'un meilleur salaire, d’une meilleure insertion sur le marché de l'emploi ou bien l’envie de se perfectionner dans son domaine, de se lancer dans sa propre création d’entreprise, d’obtenir une double compétence ou encore de se reconvertir. Nous sommes allés à la rencontre d’Héloïse qui revient sur sa décision, son expérience et ses ressentis.  

 

Si vous souhaitez entrer en contact avec Héloïse voici son LinkedIn

 

Héloïse, peux-tu nous décrire ton parcours avant Audencia ?

Avant de reprendre mes études et de me lancer dans le MS SDIDAM, j’ai travaillé 10 ans chez Mars dans l’univers de la confiserie. Ce qui est amusant, c’est que j’ai commencé ma carrière sur un poste E-commerce (j’étais responsable du développement du business BtC de My M&M’s pour la France, le UK et le Benelux). Mais j’ai ensuite basculé sur le « core business », sur un poste de chef de produit marketing, puis sur des fonctions de category management, sur lesquelles j’ai beaucoup appris mais qui m’ont finalement éloignées de mes premières amours digitales !

 

Tu as décidé de reprendre tes études après un peu plus de 10 ans dans le monde professionnel, qu’est-ce qui t’a motivée dans ce choix ?

Le point de départ, ça a été la mutation de mon conjoint qui m’a poussée à quitter l’Alsace (et donc Mars). Arrivée à Nantes, j’ai commencé à regarder les entreprises et les postes qui m’intéressaient, et j’ai constaté qu’une majorité étaient des postes dans le domaine du digital. Donc pour me donner toutes les chances de trouver mon prochain job de rêve, j’ai décidé de me reformer dans ce domaine. Et à partir de là, mes recherches m’ont très vite orienté vers Audencia, dont je connaissais l’excellente réputation, et le MS SDIDAM.

 

Quels sont les aspects du marketing digital qui te passionnent/t’intéressent le plus, pourquoi ?

Quand j’ai commencé il y a 10 ans, on avait coutume de dire que le e-commerce, c’était l’avenir. Eh bien, 10 ans plus tard, logiquement, le e-commerce et le digital plus largement, c’est le présent ! Nous le vivons au quotidien en tant qu’utilisateurs. Et ce que je trouve passionnant, c’est toutes les possibilités que cela ouvre, les barrières à l’entrée qui se lèvent, la mise en commun des connaissances. Et le rythme auquel tout cela progresse ! Chaque jour je découvre de nouveaux outils dont je ne soupçonnais même pas l’existence et qui rendent des tâches autrefois réservées à des experts accessibles à tout un chacun. Et je trouve ça vraiment passionnant !    

 

Quel est la/les force(s) de ce programme selon toi ?

Je trouve le programme bien construit : le début d’année vise à nous procurer un socle commun de connaissances (compte tenu que nous avons des parcours et des formations différentes) et, au deuxième trimestre, il y a une vraie accélération du rythme. Les cours sont bien équilibrés entre théorie, pratique, travaux individuels et de groupe. Enfin, nous avons une partie des cours qui sont dispensés par des professeurs d’Audencia, mais une majorité sont donnés par des intervenants extérieurs ; ce qui est très enrichissant.

 

Si tu devais citer particulièrement deux/trois cours ou projets dont le contenu t’a particulièrement intéressé, lesquels seraient-ce ?

J’apprécie particulièrement les cours qui sont orientés sur la pratique et la manipulation des outils. En effet, ils nous donnent le niveau suffisant de connaissances et nous mettent en confiance pour pouvoir ensuite prétendre à des postes de chef de projet par exemple.  En l’occurrence, j’ai adoré développer une maquette d’application mobile dans notre cours d’UX/UI, coder une landing page de site web dans notre cours de HTML/CSS ou lancer des campagnes Adwords lors de notre cours de référencement payant. C’est concret et stimulant !

 

As-tu des conseils à donner aux candidats qui envisagent, comme toi, une reprise d’études et qui appréhendent de se lancer ?

Le programme est exigeant en termes d’investissement personnel : les travaux de groupe et individuels prennent du temps. Il faut être prêt à s’y consacrer pleinement, ce qui n’est pas toujours évident, si l’on a une famille et des enfants comme c’est mon cas. Je recommande donc de prendre en compte cet aspect-là dans les réflexions. Pour ceux qui appréhenderaient le fait de retourner sur les bancs de l’école et de bénéficier d’une formation très/trop académique, je pense que le SDIDAM est une formation justement axée sur la pratique, ce qui est fondamental en particulier dans un domaine comme le digital. Enfin, me concernant, cette formation est aussi un vrai coup de jeune (je suis la doyenne de la promo !) et j’ai le sentiment qu’elle me donne plein de clés pour me réintégrer au mieux dans le monde du travail.  

 

Estimes-tu être assez accompagnée à Audencia par rapport à ton projet professionnel, ton profil et tes besoins en compétences ?

L’avantage à être en reconversion, c’est que l’on a généralement davantage de recul sur soi et que l’on est plus clair sur son projet, ce qui est mon cas. Cela dit, Audencia met à notre disposition de nombreux outils et services pour nous aider si nous en ressentons le besoin, ce que je trouve très appréciable. Par ailleurs, le MS est très bien connecté à l’écosystème digital nantais, ce qui nous permet de rencontrer des entreprises et des intervenants qui sont également très volontaires pour nous aiguiller au besoin.   

 

Pour un candidat souhaitant s’orienter vers les métiers du digital, quelles compétences clés lui conseillerais-tu de développer ?

Je pense que la compétence clé est la curiosité et l’envie d’apprendre. Ces métiers, qui sur le papier ont parfois l’air très techniques, sont finalement hyper accessibles pour peu que l’on prenne le temps de s’y plonger. Ensuite, je dirais que c’est un plus d’avoir un bon esprit d’analyse, et de ne pas être complètement rebuté par les chiffres.

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